Le vendredi 23 mars, les élèves de l'école de Boz ont reçu un intervenant de la FRAPNA (Fédération Rhône Alpes de protection de la nature) pour parler du rôle de la haie.
La haie ne sert pas qu’à clôturer ou délimiter un territoire. Elle est un « corridor écologique », une zone de refuge, qui permet à de nombreux petits animaux de se protéger des prédateurs et de trouver de l’ombre. Elle est également le lieu idéal pour faire son nid et trouver de la nourriture. La haie est  aussi un « filtre anti-pollution » qui peut retenir les produits de traitement des champs. Enfin, la haie présente de nombreux avantages pour les cultures en les protégeant du vent,  en attirant les insectes pollinisateurs et les oiseaux qui sont d’excellents insecticides naturels.

Il y avait beaucoup de haies jusque dans les années 1970 puis elles ont été supprimées pour agrandir les parcelles de culture. Depuis 10 ans les agriculteurs replantent les haies.

Les enfants ont travaillé la notion de chaine alimentaire à partir d’un jeu où chacun avait une carte avec un dessin d’animal (insecte, oiseau, rongeur…) ou de plante. Si un de ces êtres vivants vient à disparaître ou à être contaminé par une pollution, c’est l’ensemble de la chaîne alimentaire qui est touché.

Les élèves ont également appris qu'ils pouvaient aider la nature et par exemple les insectes en leur fabriquant des abris (fagots de bambous) ou en mettant une assiette d’eau pour que les abeilles puissent boire sans se noyer.
Ils ont recherché des insectes dans la cour de l'école et ont appris à utiliser une clé de détermination pour les identifier.

L’animateur leur a présenté différents oiseaux à partir de photos : moineau, rouge-gorge, chardonneret élégant, mésange bleue, mésange chardonneret, mésange nonette, roitelet, pic vert, merle, grive, fauvette à tête noire…

La prochaine intervention de l’animateur FRAPNA se fera dans la nature pour préparer un sentier pédagogique dans la commune.

Texte collectif des CM2

Aujourd’hui, nous sommes mercredi. Mes parents travaillent, c’est la voisine qui me garde. J’adore aller chez elle parce qu’elle a un petit chien. Elle me dit : « Fifi doit aller chez le vétérinaire ».Nous partons à 2 heures. Chez le vétérinaire, il y a 10 personnes qui attendent. J’entends un hamster dire : « Il  parait que le docteur est super ». Un chat dit : « C’est une femme ». Un chien dit : Ma maîtresse m’appelle Boubou !!!!! Je me frotte les yeux et j’entends ma mère dire : « On se lève !!! » C’était un rêve.                                                                                                          

Aujourd’hui j’ai une idée de texte libre mais je ne peux pas en faire un car j’ai un exercice de conjugaison et des mathématiques à finir. J’ai toute essayé pour en faire un, j’ai même supplié le maître à genoux mais il n’a pas voulu. Je lui ai même dis que si je ne pouvais pas en écrire un je porterai plainte.
Il m’a attrapé par la tête et m’a jeté par la fenêtre alors je me suis déguisé en sceam, j’ai pris un couteau et je lui ai coupé la tête.

Après, il ne faisait plus le malin…

Mathieu

Une lettre de Christian Poslaniec pour les CM2 est arrivée à l'école samedi...
A découvrir lundi !

Résultats des CM1 : 21 points

Résultats de la catégorie 5 (CM2) : 16 points

Soyez prêts pour la seconde épreuve qui arrive bientôt...

Chapitre 1

C’est l’histoire d’un chasseur grand, fort et courageux. Il habite une petite cabane dans les arbres. Il n’a ni femme ni enfant. Il a les cheveux châtains. Il est gentil mais il ne faut pas exagérer.

Chapitre 2

 Un jour, en allant à la chasse, il voit un sac marron. Il dit : « Mais qu’est-ce que c’est ? »

 Il s’avance, ouvre le sac et il voit des balles de fusil. Le chasseur lance l’échelle, descend et part tout content. Au bout de 20 minutes, il voit un cerf  grand, beau et fort un peu comme lui.  Il prend le sac de balles, met une balle dans son fusil et tire. Il le loupe. Il refait pareil mais cette fois la balle est bizarre car elle ressemble à une clé.

Chapitre 3

Il n’a pas atteint le cerf mais un lapin. Il rentre, mange le lapin et s’endort.

Le lendemain, il se rappelle qu’il y avait une porte qui ne s’ouvrait pas. Il essaye de l’ouvrir avec la clé qu’il avait trouvée. La porte s’ouvre et derrière il trouve des tas et des tas de photos de ses arrière-grands-parents. 

 Il les affiche dans sa maison.

Jules 

Ma saison préférée, c’est l’été parce qu’on peut jouer dehors, aller à la piscine et se promener. 

Jules vous propose la lecture de cette histoire trouvée sur Internet.

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Une maman trop pressée

La maman d’Augustin est une maman trop pressée. Tous les jours, son fils sous le bras, elle court au supermarché. Pour aller plus vite,
elle achète toujours les mêmes choses : des œufs, une tranche de saumon, cinq aubergines, des assiettes en papier (elle est tellement
pressée qu’elle n’a même pas le temps de faire la vaisselle). Elle prend aussi plusieurs paquets de biscuits car elle grignote tout le
temps.

Elle parcourt les rayons à toute allure, bousculant les clients bavards et les vieilles dames indécises.

Aujourd’hui, en lançant les aubergines dans son chariot, elle se retourne pour s’apercevoir que… son Augustin a disparu !

— Aïe ! aïe ! aïe ! Mais où est-il passé ? se dit-elle en le cherchant du regard. Cette histoire va encore me mettre en retard !

— Augustin ! Augustin ! crie-t-elle.

Heureusement, au bout de quelques minutes, elle l’aperçoit sur le parking, juste devant le magasin. Il traîne, le nez en l’air, entre
les voitures. Prenant ses jambes à son cou, la maman trop pressée quitte le rayon légumes et se précipite sur le parking.

Il cueille tranquillement des fleurs dans le gazon.

La maman le saisit par le bras et l’entraîne vers le supermarché.

— Viens vite, Augustin ! On est en retard, mon petit. Dépêche-toi, vite, vite !

Mais Augustin a un drôle de regard…

— Pourquoi me fais-tu la tête, Augustin, mon chéri ? lui demande-t-elle. Et qu’as-tu mis dans tes cheveux ?

En effet, cet Augustin porte un magnifique nœud rouge dans ses boucles…

— Et où as-tu mis tes baskets ? l’interroge-t-elle en désignant ses souliers vernis.

— Lâchez-moi, Madame ! Qu’est-ce qu’il vous prend ? Je ne m’appelle pas Augustin, moi ! D’abord, mon père va vous punir. Vous êtes une
voleuse d’enfants et je vais vous dénoncer… Je suis une princesse, et je peux vous expédier en prison immédiatement !

Mais la maman, trop pressée pour avoir peur, a déjà disparu. Elle retourne au Prixfous et découvre enfin son Augustin qui gambade d’un
rayon à l’autre.

— Ah ! enfin, te voilà, toi !

Mais la maman est trop pressée pour serrer contre elle son petit garçon.

Elle a bien reconnu les baskets d’Augustin : cette fois, c’est bien lui !

— Oh ! mon amour ! Je t’ai cherché partout. Bon, bon, on n’a pas le temps de raconter des histoires, n’est-ce pas ? Maintenant, on a perdu
assez de temps comme ça, on prend les biscuits et on s’en va ! Vite ! Vite ! dit-elle en lançant les paquets dans le chariot.

Augustin, tout confus, baisse la tête et bredouille :

— Pardon, maman. C’est de ma faute, j’ai attrapé le bras d’une autre maman et je l’ai suivi dans tout le magasin. À la fin, je me suis
aperçu que ce n’était pas toi !

— Écoute, Augustin, qu’est-ce que je vais faire de toi ?... Tu n’arrives même plus à reconnaître ta maman ?

Beatrice Alemagna
Une maman trop pressée
Paris, Editions du Seuil, 1997 (Adaptation)

Jetez un oeil à ces photos de Patrick Neveu, votre maître de grande section.

http://ecole.marelle.org/boz/boz/exposes/diaporama/animaux/index.htm
http://ecole.marelle.org/boz/boz/exposes/diaporama/oiseaux2/index.htm

Un jour, je me suis endormi sur le canapé. Je me mis à rêver que j’étais un oiseau et j’habitais sous des tuiles. A un moment, je suis sorti de mes tuiles et un faucon est apparu. Il m’a pourchassé. Il a fini par m’avoir. Tout d’un coup, je me suis réveillé. J’avais eu la peur de ma vie ! Et je me suis dit que jamais je ne regarderai plus le ciel.