• Le moulin de Maître Cornille (Moulin de Daudet) existe toujours aujourd’hui. Tu peux le découvrir en images : http://www.web-provence.com/balades/daudet.htm


    votre commentaire
  • Un soir, dans Londres, on entendit des cris qui parvenaient de la fenêtre d'en face. On vit un homme masqué avec un pistolet. C'était lui le meurtrier! Le lendemain, la police fouilla tout le quartier. Quand ils frappèrent à ma porte, je leur dit que le meurtrier portait une cagoule noire et qu'il avait un pistolet. Mais, ils me répondirent que la victime n 'était pas morte d' une balle mais de quatre coups de couteau.
    J'étais ébloui parce qu'il avait une arme à feu et pas un poignard. Je me dis que ce n'était pas lui. Le lendemain, j'entendis d’autres cris dans mon immeuble. Je descendis mais c'était trop tard. Je vis madame Prévert morte à côté de moi.
    Alors, j'appelai la police qui fouilla à nouveau tout le quartier. Je leur dis que je n’avais rien vu. Le soir,  j’étais mort de peur, je croyais que ça allait être mon tour. Mais rien, je n’entendis aucun cri, alors je m’endormis.
    Le lendemain, je me levai très tard parce que je m’étais endormi très tard la veille. Pendant que je prenais mon déjeuner, quelqu’un frappa à la porte. J’avais peur que ce soir le meurtrier mais je me dis qu’il n’apparaissait que le soir, alors j’ouvris la porte. J’étais soulagé, c’était juste le facteur.
    Il me donna un gros colis et une lettre. J’ouvris la lettre avant le colis, c’était écrit : « ouvrez ce colis vous serez fier ». Alors, j’ouvris le colis mais c’était un piège. Dedans, il y avait une bombe alors je sautai par la fenêtre, heureusement j’habitais le 2ème étage.
    Les pompiers arrivèrent et éteignirent le feu puis la police arriva. Ils me crurent quand je leur expliquai que c’était un colis piégé. Toute la journée, ils cherchèrent des preuves. J’avais oublié que la lettre était signée. Je retournai dans mon appartement et la lettre n’était pas brûlée et il était écrit : « Lettre anonyme ». Un policier courut jusqu’à moi et me dit qu’il avait retrouvé le meurtrier et il alla en prison.
    Hector


    2 commentaires
  • Et la galère commença. Plein de monstres sont venus à la destruction du pays,  plein de monstres détruisaient la ville.
    C’était  affreux à voir. Tout le monde avait vraiment peur  c’était la terreur. Je devais faire quelque chose. Il y avait un monstre énorme, gigantesque. Il n' y avait pas de mot pour le décrire mais il avait  un point faible : sa colonne vertébrale.
    Il fallait que je prenne mes responsabilités tout seul pendant que Tails fabriquait le générateur de molécules. Il fallait que je le batte, ce n'était pas gagné, mais en me concentrant, j'avais peut-être une chance...
    Il me donnait des coups, il essaya même de me manger mais je me suis calmé, j’ai réussi à concentrer toute ma puissance dans un seul coup et j’ai battu ce monstre.
    Tails réussit à me fabriquer le générateur de molécules. Et depuis, tout va bien : Shadow est dans son monde et moi dans le mien.

     Maxime


    5 commentaires
  •  Un jour, je me suis réveillée et je suis allée faire des courses. Je me suis achetée une crème anti-rides, je l'ai utilisée et je me suis endormie.

    Le lendemain, je me suis regardée dans mon miroir et mon beau visage avait changé et j'ai crié : « PAPA! ».
    J'étais changée avec mon père. J'étais très fâchée contre cette crème anti-rides, c'était idiot et je suis retournée en courses.
    Je suis allée voir la vendeuse, elle m'a dit : « Désolé je me suis trompée de crème, je vous en donne une autre ».
    Je suis retournée chez moi,  je l'ai utilisée et je suis allée dormir.
    Le lendemain,  je me suis regardée dans le miroir et c'était bien moi…

    Oreline


    votre commentaire