Nous avons fait mardi notre premier moment philo autour des questions :
Qu’est-ce que la liberté ? Qu’est-ce qu’être libre ?
La liberté : qu'est-ce que c'est ?
La liberté, à quoi ça sert ?
La liberté : et si ça n'existait pas ?

Voici ce qui a été dit :
Etre libre, c’est faire ce que l’on veut, pouvoir jouer, courir, s’exprimer, profiter de la vie
Etre libre, c’est ne pas être commandé
Etre libre, c’est ne pas être maltraité
Etre libre, c’est pouvoir faire des choix, décider de ce que l’on veut faire
Etre libre, c’est  ne pas être privé de liberté
Etre libre, c’est ne pas travailler mais pouvoir apprendre à l’école
Etre libre, c’est ne pas être privé de ses parents
Etre libre, c’est pouvoir penser ce que l’on veut
Etre libre, c’est  ne pas être soumis à quelqu’un
Etre libre, c’est avoir la joie de vivre
Etre libre, c'est ne pas rester devant la TV toute la journée ou fermé chez soi
Etre libre, c'est avoir des amis
Etre libre, c'est apprendre, découvrir
Etre libre, c'est pouvoir manger à sa faim

Il y a des lois qu'il faut respecter si l'on veut que tout le monde soit libre.

Si la liberté n’existait pas :
- ça ne servirait à rien de vivre
- on serait malheureux, on s’ennuierait,
- on ne ferait pas beaucoup de choses
- nous n’aurions aucun droit
- quelques personnes riches auraient tout pouvoir et d’autres seraient esclaves

Nous lirons des textes extraits des Gouters philo pour nourrir notre réflexion

DES IDEES DE THEMES pour de prochains moments philo :

Pour chacun, on peut se poser ces 3 questions :

* Qu’est-ce que c’est ?

* A quoi ça sert ?

* Et si ça n’existait pas ?

Le calendrier républicain fut créé par Fabre d'Églantine et utilisé en France de 1793 à 1806.
Commençant à l'équinoxe d'automne (22 ou 23 septembre), l'année était divisée en douze mois de trente jours, eux-mêmes subdivisés en trois périodes de dix jours, les décades.
Le nom des jours correspondait à leur chiffre dans l'ordre de numérotation : primidi, duodi, tridi, quartidi, quintidi, sextidi, septidi, octidi, nonidi, décadi.
Le dernier jour de chaque décade correspondait à un jour de repos.
Les cinq ou six jours qui restaient à la fin de l'année (du 17 au 21 septembre environ) étaient consacrés à la célébration des fêtes républicaines.
La première année du nouveau système fut appelée an I, la seconde an II, etc.
Trois mois furent attribués à chaque saison.
Les mois d'automne se nommaient vendémiaire (mois des Vendanges), brumaire (mois des Brumes) et frimaire (mois des Frimas).
Les mois d'hiver, nivôse (mois des Neiges), pluviôse (mois des Pluies) et ventôse (mois des Vents).
Les mois de printemps, germinal (mois de la Germination), floréal (mois des Fleurs) et prairial (mois des Prairies).
Les mois d'été, messidor (mois des Moissons), thermidor (mois de la Chaleur et des Bains) et fructidor (mois des Fruits).
Le calendrier républicain fut aboli par Napoléon le 1er janvier 1806.

C'est l'histoire d'un enfant très pauvre. Chaque jour, avec l'argent qu'il trouvait sur le trottoir, il achetait le journal ou des tickets de loto, mais il perdait à chaque fois. Un jour, un ticket était par terre, il le ramassa et le jour du tirage, le jeune enfant vit les numéros du ticket gagnant 8/19/20/90/1 et le dernier 2. Pendant quelques secondes, il fixa son ticket et s'exclama :

« J'ai gagné !».

Il rentra à toute vitesse chez lui et dit à ses parents qu’il avait gagné au loto. Ils allèrent le dire à l'épicerie et ils gagnèrent un million d'euros.

Camille

Lundi je plante des radis.
Mardi je suis dans mon lit.
Mercredi je fais du tri.
Jeudi je mange du céleri.
Vendredi je crie.
Samedi je prend mon caddie.
Dimanche j'ai mal à la hanche.

Enzo P

Comme avant...Il y a l'école qui recommence. Après, on attend les vacances. On attend la neige et comme l'année dernière il n'y avait pas de neige pendant les vacances. L'hiver est arrivé, et la neige commence à peine à tomber, les batailles de boules de neige, les bonhommes de neige. Mais pendant ce temps on pense aux vacances de Noël, les cadeaux, on attend toutes ces grandes fêtes, le nouvel An, Pâque, la fête des pères et des mères et puis surtout les grandes vacances. Ce serait bien....Mais ça c'est dans longtemps et oui dans longtemps....

Nathan

« Oh ! Quelles sont ces choses, Takse ?
- Je n'en sais rien Paul !
- Ils ont des objets épais et des créatures poilues ! », remarqua Raton.
Paul proposa :
« Nous pouvons peut-être rester ici quelque temps ?»

Thomas

Un jour, trois enfants vont se promener dans la rue. Ils passent vers la boulangerie d'Ozan et ils voient un billet de 50 €.
Un enfant pose une question :
« Qu'est-ce qu'on pourrait acheter avec ce billet de 50€ ?
- On pourrait  s'acheter des jeux vidéos ! », propose le deuxième enfant.
Le troisième  enfant réplique :
« On pourrait acheter des chewing-gums et un ballon ».
Les deux autres enfants s’exclament :
« Oh oui ! Tu as raison. »

Océane

Deux enfants sont dans un parc. Ils jouent au toboggan et à la balançoire.
En bas du toboggan, quelque chose attire leur regard :
«  Oh regarde !, s’exclama Franck, il y a un billet de 50€ dans le sable.
- Où ça où ça un billet de 50€ ?, s’écria Paul, en sautant de joie, on pourra s’acheter des bonbons ».
Axel

Le billet de 50€
Johnny et ses amis se baladaient dans la rue. Oscar vit un billet de 50€, il s’exclama :
« C’est un vrai ?
- Bien sûr, affirma Juliette ».
Johnny leur demanda :
«  Qu’est-ce qu’on pourrait acheter avec ce billet ?
- Un poste de musique, proposa Juliette.
- Non !!!, répondit Oscar. Pourquoi pas une batterie pour Johnny, une guitare électrique pour moi, et un piano pour Juliette ?
- Très bonne idée », dirent- ils tous en chœur. 
Gabin
                                                               
Un jour, deux enfants se rencontrèrent dans la rue des platanes :
« On va à la boulangerie, proposa Samuel.
- Bien sûr », accepta Pierre.
Sur la route, ils virent un billet de 50 euros. Pierre alla le ramasser.
«  On paye notre pain avec ce billet ?, demanda Samuel.
- Oh oui mais on achète aussi des croissants ! »
Mathias

Un jour, trois enfants sont allés au parc. Ils ont trouvé un billet de 50 €.
« On pourrait s'acheter des bonbons, proposa Paul.
- On peut s’acheter des jeux vidéo », déclara Anna.
Paul et Anna demandèrent à Jean s’il avait une idée.
Jean cria alors :

« Je ne sais pas, l’idée d’Anna me semble très bien ! »
Ils sont alors allés acheter des jeux vidéo.
Enzo P

Lise et Léna ont 13 ans, elles sont meilleures amies.
Tout à coup Lise s’aperçoit qu’il y a un billet de 50 euros, elle le ramasse puis elle demande :
« Qu’est-ce qu’on va faire de ce billet ?
- Si on en profitait pour faire du shopping.
- Quelle bonne idée !!, répond Lise.
-Vite il faut se dépêcher sinon les magasins vont être fermés !!!
-Bon et bien on part, par contre je prends 25 euros et toi aussi, affirme Lise.
-D’accord », s’exclame Léna tout contente.
Sara

Les trois extra-terrestres
Le 3 mai, à 12 h pile, trois extra-terrestres sont arrivés vers une ferme. Les deux enfants, qui étaient dans la maison ont entendu un énorme bruit dans le champ. Ils sont sortis et, là, ils ont vu un énorme vaisseau. La petite fille a crié.
« Chut, ils vont t'entendre », s'est exclamé son frère.
Les trois extra-terrestres sont sortis et se sont parlés. Les deux enfants n'ont rien compris à ce qu’ils ont dit.
« Bonjour, on ne veut pas vous faire de mal, nous sommes venus là en paix, a déclaré l’un des trois extra-terrestres.
- On s'est trompés d’endroit, on va repartir sur notre planète », annonça l’autre.
Mélissa

Un jour, trois enfants qui s’appelaient Sophie, Arthur et Lili, allèrent se promener au parc. Sophie trouva un billet de 50€ dans le sable.
Lili chuchota à Arthur :
« Je le prends ? »
 Arthur se précipita, le pris, et annonça :
« Que voulez-vous acheter avec ce billet ? »
Lili commença la première, en éclatant de joie :
« Je voudrais un doudou avec une Barbie ! »
Arthur, voulait plus un jeu de garçon comme une voiture télécommandée.
Sophie, elle, voulait un parfum Pucca avec des playmobils.
Ils allèrent au magasin. Ils achetèrent ce qu’ils voulaient. Ils se dirigèrent vers la caisse. Arthur donna le billet de 50€ et ils rentrèrent chez eux.
Marie

Luc, Sacha et Dimitri trouvent un billet de 50 euros, ils ne savent pas quoi acheter avec cet argent. Dimitri a une idée :
« Pourquoi n'achetons-nous pas des bonbons ?»
Sacha s’exclama : « Ah oui ! En plus j'adore !»
Luc s'écrit :
« Non, moi je préfère qu'on le dise à nos parents ».
De retour à la maison, Luc expliqua :
« Nous avons trouvé un billet de 50 euros par terre»
- Il faut le remettre où vous l'avez trouvé !, répondirent les parents.
- D'accord on le saura pour la prochaine fois !», répliqua Luc, très déçu.
Adélie

Un jour, Jérémy et Juliette trouvent un billet de 50 euros. Juliette demande à Jérémy :
«Qu'allons-nous acheter avec 50 euros ?
-Je ne sais pas, des bonbons, des chewing-gum et des sucettes par exemple.
-Très bonne idée !!!!» répond Juliette
Ils cherchent un magasin pour acheter des bonbons. Au bout d'un moment, Jérémy voit un magasin, ils y vont. Dans le magasin, ils cherchent la rangée des bonbons.
«Ah!!! Je vois la rangée des bonbons» crie Juliette.
Ils achètent des tonnes de bonbons.
«Quel délice!!! », s'exclament Juliette et Jérémy.

Madeline

Le lundi nous sommes partis de Boz, le car  nous a déposés à côté d'une forêt et nous avons rencontré nos animateurs.
Nous avons fait les groupes et mon animateur s'appelait Arnaud.
Une fois séparés nous avons cherché des empreintes et nous avons trouvé des empreintes de chevreuil, de chat, de chien, de sanglier, de chat sauvage et de canard.
Mathias

Voici les doléances de 1789 de la commune de Boz :

Doléances de Boz (site des archives de l'Ain)

et le procès verbal de l'assemblée. Vous y retrouverez des noms de famille connus...

Procès verbal de Boz

Vous pouvez chercher les doléances d'Ozan et Reyssouze sur le site des archives de l'Ain :

http://www.archives.ain.fr/

Les mots peuvent s'unir comme tennis et table pour faire un grand mot: tennis de table 

Les jeux de mots
Comme un mal de tête, au pluriel devient des maux !

Ce que j’ai retenu de la sortie aux Oignons :

Nous sommes allés aux Oignons, avec  les cm1 et notre classe. Arrivés aux Oignons, il y avait un groupe avec Marc Borrel. Ils ont appris plein de choses sur les arbres. Nous, nous avons joué avec Bénédicte, on s’est mis des images d’animaux et nous devions deviner ce qu’on était comme animal (moi j’étais une taupe).
Après, un monsieur est venu pour nous parler de la forêt et des arbres. Nous avons mangé, nous avons eu très froid.
Après manger comme nous avions très froid, le maître nous a fait courir autour des arbres. Nous nous sommes séparés en deux groupes et nous avons planté des arbres.

Nous sommes rentrés et la journée était finie.

Adélie